Suivi du temps de travail - 6 fiches pratiques
Le temps, c’est de l’argent… à condition de bien le suivre
Heures non comptabilisées, activités mal réparties, reporting chronophage : une mauvaise gestion du temps de travail peut vite coûter cher. Pourtant, quelques ajustements concrets peuvent faire toute la différence.
au programme du livre blanc :
Dans ce livre blanc, Lucca vous partage 6 fiches pratiques sur le suivi du temps de travail. Vous y retrouverez les thématiques suivantes :
- Suivre les horaires de présence des collaborateurs
- Suivre les temps des cadres au forfait jours
- Suivre les temps passés par les collaborateurs sur des activités
- Suivre les temps de travail pour le Crédit d’Impôt Recherche
- Suivre les temps de déplacement des collaborateurs
- Suivre les temps de travail des salariés en télétravail
Bonne lecture !

les questions courantes liées aux rh
Comment bien gérer les congés payés de mes salariés ?
Utilisez un outil de gestion centralisé pour suivre les soldes, valider les demandes et anticiper les absences. Assurez-vous de respecter le Code du travail et les éventuelles conventions collectives.
À quelle fréquence dois-je organiser des entretiens individuels ?
Au minimum une fois par an, comme le prévoit la loi. Mais pour un meilleur suivi, un rythme semestriel ou trimestriel est recommandé, surtout dans les équipes en forte évolution.
Quels documents RH dois-je obligatoirement conserver ?
Bulletins de paie, contrats de travail, avenants, justificatifs d’arrêt maladie, entretiens professionnels… Les durées de conservation varient, mais certaines vont jusqu’à 5 ans ou plus.
Comment gérer un arrêt maladie prolongé ?
Maintenez le lien avec le salarié sans pression, informez la CPAM, et préparez le retour avec un entretien de reprise si l’arrêt dépasse 30 jours. Pensez aussi à l’aménagement du poste si nécessaire.
Est-ce obligatoire de proposer une mutuelle d'entreprise ?
Oui, depuis 2016, toute entreprise doit proposer une complémentaire santé collective à ses salariés, avec une prise en charge d’au moins 50 % de la cotisation par l’employeur.